
L’Assemblée législative de la Transition a voté à l’unanimité la dissolution de la CENI, marquant un tournant dans la gestion électorale du Burkina Faso. Désormais, l’organisation des scrutins revient au ministère de l’Administration territoriale. Le gouvernement justifie cette réforme par une volonté de recentralisation et d’efficacité, tandis que des observateurs s’inquiètent de l’avenir de la transparence électorale. Cette décision symbolise un changement profond dans la gouvernance politique du pays.
La rédaction
